Savoir faire: placer un racourci au bureau, activer la barre de lancement rapide, placer une icône dans la barre de lancement rapide, cellule, feuille, classeur, nommer, adresser, enregistrer, barre et zone de formule, boîte de dialogue, menu déroulant, menu contextuel
1. L'intensité du courant électrique:
elle traduit le débit de charges électriques à travers une section d'un circuit. Elle s'exprime en ampères ( A ) et se mesure avec un ampèremètre placé en série avec le dipôle dans lequel on veut connaître l'intensité du courant.
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2. La Loi des branches:
1°) Montage expérimental:
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Circuit à une seule maille
2°) Résultats:
On constate que les 3 ampèremètres indiquent la même intensité. Nous généralisons à un nombre quelconque de dipôles et énonçons la loi des branches:
L'intensité du courant électrique est la même dans une même branche.
Conséquences: le courant ne "s'use" pas à la traversée d'un dipôle. Peu importe la place de l'ampèremètre dans une branche pour y mesurer l'intensité et un seul ampèremètre suffit.
Note: les dipôles peuvent être quelconques: résistances, lampes, diodes....Quels que soient ces dipôles et leur valeur, tous les binômes trouvent le même résultat ( la même intensité ).
3. La Loi des noeuds:
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La résistance réglable permet de modifier l'état électrique du circuit et de disposer ainsi de plusieurs triplets de mesure ( I, I1, I2).
Les résultats sont consignés dans le tableau de mesures suivant dans lequel on introduit la colonne I1 + I2 pour pouvoir comparer son contenu avec I.
I1 (mesure) |
I2 (mesure) |
I (mesure) |
I1 + I2 (calcul) |
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4. Utilisation d'un tableur:
Ouvrir une feuille de classeur en double-cliquant
sur l'icône
du tableur (un seul clic suffit si l'icône est placée dans la barre
de lancement rapide). L'enregistrer en lui donnant un titre (ici classeur 1)
et une adresse.
Remplir l'entête des grandeurs à mesurer ainsi que l'unité.
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Dans les 3 premières colonnes, chaque binôme écrira ses mesures. Dans la colonne D, on veut que l'ordinateur fasse lui-même la somme, au fur et à mesure que I1 et I2 sont tapées.
On sélectionne la cellule D2 puis on clique sur le signe = de la barre de formules. On déplace la boîte de dialogue qui apparait pour voir les cellules qui, sinon, seraient cachées.
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Dans la zone de formule, après le signe "=", on tape A2+B2: on peut aussi cliquer sur la cellule A2 et sur B2. En D2 il apparaitra plus tard la somme du contenu de A2 et du contenu de B2. On valide avec OK et il apparait la valeur 0 puisque c'est la valeur par défaut des cellules lorsque leur contenu est vide.
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Un clic droit sur la cellule D2 la sélectionne et permet de "copier" son contenu "faire la somme" grâce au menu contextuel qui apparait.
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Avec un "glisser" du clic gauche on sélectionne les cellules de la colonne D pour lesquelles on veut répéter l'opération, par exemple ici de D3 à D9 (1+7 lignes de mesures et de calculs). Un clic droit dans la zone sélectionnée pour faire apparaître le menu contextuel dans lequel on choisit "coller".
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Au fur et à mesure qu'on entre les valeurs de I1 et de I2, la somme s'affiche.
5. Résultats:
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Classes du matin (2nde 9) et de l'après-midi (2ndes 4 et 7)
On constate que le contenu des colonnes C et D est pratiquement le même c'est à dire que l'intensité du courant principal est égale à la somme des intensités des courants dérivés.
Nous généralisons en énonçant la loi des noeuds:
La somme des intensités des courants qui arrivent en un noeud est égale à la somme des intensités des courants qui partent de ce noeud.
Exemple:
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Ici, la loi des noeuds appliquée au noeud N s'écrit: I1 + I3 + I4 = I2 + I5
Remarque: si l'on ne connait pas à l'avance le sens d'un courant, on lui en choisit un et l'on voit si l'intensité trouvée est positive ou négative. Par la suite, si on utilise ce courant pour un calcul, il est conseillé de conserver le sens initialament choisi ainsi que la valleur algébrique de ce courant même si elle est négative.